• Ma tribune libre

    Solitude…

    Il ne cesse pas de penser à elle. Il se rappelle les moindres détails…les moindres gestes. Son sourire et ses mots doux. Il l’a toujours comparé à un ange. Pour lui, Les anges ne peuvent pas la ressembler. Ses maux de tête l’obligent à souffrir en silence loin d’elle. Il a toujours caché sa maladie pour ne pas lui faire du mal. Elle remarquait ses douleurs, ses peines mais il ne lui a jamais avoué la vérité. Il ne peut pas… Il a préféré s’éloigner pour éviter le malaise et la souffrance de sa bien aimée. Il prend son café noir, allume la nième cigarette de la nuit… Il fume…

  • Boukou délire

    La Vie “Bloggiste”

    A mon sens, la vie est de type « bloggiste », des spires qui tournent, des scénarios qui se répètent Mais il faut toujours tirer les leçons, a quoi sert une vie pleine de fautes qui se répètent.Il faut savoir comment peut-on tuer la routine des « bolggistes ». Ce n’est pas donné a tout le monde Mais comme je dis « Nemoutou hena man3ichouche ». Alors il faut pas suivre le sens « bloggiste » de la vie, mais en revanche il faut s´adapter et traiter avec le « best » et laisser à la fin mais toujours en gardant la racine « cd ../.. » NadJ

  • Boukou délire

    Ma vie a t-elle un sens ?

    Dans ma vie, je fais plein de choses, mû par toutes sortes de désirs, d’obligations, d’instincts. Mais pourquoi faire telle chose plutôt que telle autre, dans l’absolu ? J’ai la possibilité de réfréner tel désir pour privilégier tel autre. Mais lequel privilégier ? Certes certains semblent préférables à d’autres de part leur conséquences si non le fameux terme HCHOUMA . Mais ce n’est pas toujours évident. Et qu’entend-on par « préférables » ? au sens de la moindre souffrance ? Mais pourquoi faudrait-il toujours viser la moindre souffrance ? au nom de quoi ? Une chose est sûr : j’aimerais bien que ma vie ait un sens. Et j’aimerais bien…

  • Ma tribune libre

    Voyage

    Le train avance… Les arbres, les champs et parfois les immeubles disparaissent de ma vue… J’ai l’impression que c’est moi le centre du monde et que ces paysages vieillissent et meurent alors que je tiens le coup… Je prends mon journal pour noter quelque chose que j’ignore!!! Je suis incapable de tracer un mot.   Dans ce compartiment la vie est si lente, calme et tellement différente de la vraie vie. Je contemple les deux dames assises devant moi. Il est clair qu’elle ont vécu ce que nul autre n’a vécu. Dans les soixantaine, et toujours en pleine forme. Un dos bien dressé, un regard fixe et une discussion qui tient la route. Deux dames cultivées, entrain de…