Boukou délire
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Hayajan – Ween El-Kalam
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Mike Love – Permanent Holiday (HiSessions.com Acoustic Live!)
Lyrics to Permanent Holiday Lord, I’m on a Permanent Holiday I’m goin outside to play. I ain’t gonna slave away. Not for no corporate Babylon. I’m never gonna be a pawn in their manipulation games I’m taking the reigns, breaking the chains, I’m never gonna kneel, no way. My prophet is heaven sent. No preacher or president gonna lead I astray I’m taking Jah highway home. I’ve got my own path to follow Don’t know if you’ll overstand , I’ve got my own truth to swallow. And if I could you know I would throw my guitar on my back, Pick up the slack and leave here tomorrow. But I…
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Vibration noctures !
Il a trop mal à l’estomac, furieux, il n’arrive pas à dormir ni apaiser ses douleurs ! La chambre sombre dans ses noirceurs d’esprit. Il quitte son lit avec hésitation, il sait qu’il ne pourra plus refermer l’œil et que sa prochaine journée risque de devenir trop longue. Il décide de vider son ventre ! De temps à autre, il faut oser les solutions radicales. Soulagé, mais le malaise est toujours là. Il reprend son souffle petit à petit… Oh que c’est dure d’éjecter le mal à l’extérieur. Le silence règne dehors, l’heure est tardive. Personne ne s’aventure à sortir ou à troubler le silence magistral du quartier. Pourtant, en temps normal,…
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Maitriser son destin : Les anges meurent de nos blessures !
Lorsque le souvenir plombe le présent en se substituant au jour qui naît à notre fenêtre chaque matin, cela voudrait dire que l’Horloge s’est fixée sur un destin. On apprend alors à fermer les yeux sur les rares réflexes qui nous restent pour être seul avec soi-même, c’est-à-dire avec quelqu’un qui nous devient insaisissable au fur et à mesure que l’on s’habitue à ses silences, puis à ses distances jusqu’à ce que le Grand sommeil nous soustraie aux désordres de toute chose. Yassmina Khadra
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Nawal « Meditation »
« Un jour, le grand maître soufi Lal Shahbaz Qalander errait dans le désert avec son compagnon Baha ud-Din. C’était l’hiver et la nuit était froide. Ils voulurent faire un feu. Baha ud-Din suggèra à Lal Shahbaz de se transformer en faucon et de ramener de la braise de l’enfer. Celui-ci s’envola mais revint bredouille : il n y a pas de feu en enfer, ceux qui vont là-bas amènent leur propre feu et leur propre souffrance de ce monde. » Très beau morceau et une authentique méditation avec la diva des iles Comores : Nawal.